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30.03.2010 12:59:57
BrunoR

Si ma mémoire ne me fait pas défaut, comme on dit à la brigade pour la répression des contrefaçons, j'ai participé à mon premier Brevet Sportif de Clapiers en 2000. Je vous parle d'un temps que les moins de 10 ans... Un souvenir pas si lointain pour mon orgueil de mâle blessé et encore bien vivace pour mon rectum aussi flétri à l'arrivée qu'une laitue ramassée de la veille ! Faut dire qu'à l'époque je débutais dans le milieu et la pratique de la pédale...

 


Cravacher dur sur un vélo pendant des plombes, les valseuses arrimées à la tige de selle pour qu’il avance, n’était pas une évidence ! Surtout assis à califourchon sur un bout de cuir de 15 cm2, mains menottées aux cocottes et pieds prisonniers ! Mais je me voyais "beau" comme un Cacou de l'OM qui assiste à l'écrasante victoire de son équipe 1-0 contre le PSG avec but de Mongol, le portier parisien, contre son camp en tirant un 6 mètres!

Alors je faisais un peu n’importe quoi.

Le samedi matin je roulais à l’AC Jacou aussi vite qu'une tortue unijambiste sous lexomyl qui suit l'enterrement de M. Escargot, et l’après-midi j'écumais avec une certaine réussite les boulodromes du coin. Même si parfois au moment de tirer une boule j'avais une crampe qui me déchirait le cuisseau, et qui m’aurait fait rater une éléphante obèse dans un tuyau de 19 mm !

Le jour du seigneur en guise de thalasso, je m’offrais 100 bornes en chignole pour taper dans un rond de cuir. Il m’arrivait alors de sortir de mon sac de sport, sous le regard éberlué de mes équipiers, de drôles de godasses à crampon unique et de la marque Time!!!!!!! Idéales pour tirer les pénos si on a les pieds carrés!

Pas besoin de vous faire amener du marc de caoua pour lire que le lundi j’étais aussi dévasté qu’un Mac Do aveyronnais construit dans un champ de maïs transgénique après le passage de José Attila Bové !

Fallait vraiment avoir les cellules grises qui fuient de la valve et être aussi gonflé qu'une pompe de mini-vélo pour s'offrir un défi de la taille du célèbre Brevet de Clapiers et sa fameuse "neutralisation" à 30 km/h… dans les bosses!

Evidemment, et n'en déplaise à Jean de Lafontaine qui ne coule toujours pas d'eau de source, la tortue moribonde et peu affable des Matelles ne rattrapa jamais le lapin bien saignant de Clapiers!

Pour couronner le tout, comme le dit l'arracheur de ratiche de la reine d'Angleterre, ce funeste jour là, je me coltinais un rhume qui faisait grand foin dans mon organisme! Ma gorge était aussi sèche qu'un os de seiche et mon pif davantage bouché que les ouatères publics de Montcuq jour d'épidémie de gastro! Bref, 10 bornes seulement après le départ, en l'espace d'un poil de cul de seconde mal torchée et bien avant la "raie" Pipi, je fus à l'arrêt net! Dislocation du cortège à l'entrée de St Gely, dans un faux plat annoncé par les organisateurs et la préfecture (pour une fois d'accord) à moins 2% !!!!

Nous nous retrouvâmes seulâbres avec un pote de mon club, canonisé depuis par Pissette pour son sacrifice et ses atouts de cœur. Un chemin de croix de 140 bornes dans les Cévennes c’est pire que de se réveiller amnésique et nu comme un ver entre Roselyne Bachelot et Maïté ! Qui voit les Cévennes, voit ses peines!

A mon arrivée à la salle des défaites j'avais les cannes en flanelle-coton et aussi cramées que la peau d'un lézard after une séance d'UV de 6 h. Avec une tarte pareille mon moral était atteint…

Encore plus riquiqui que le scoubidou rétractile d'un pêcheur esquimau qui en rupture d’appât décide de tremper son « engin » dans un trou de la banquise pour faire mordre un vieux phoque. Fier comme un bar tabac qui fait Loto-PMU, je mis 5 ans avant de repointer ma face de guignolo à pareil rancart. Le temps nécessaire pour m'aguerrir et emmagasiner de l'expérience.

Comme je n’ai pas été conçu à la Chandeleur, pas question que je repasse pour une crêpe! Changement de club (Teyran Bike 34), de vélo, 10 000 bornes par an, multiplication des Brevets et cyclosportives, et plus que 4 bafrages à heure fixe par jour pour… Pour ressembler le 28 mars 2010 à un stoquefiche!

Les jours pairs je devins sobre comme une caravane de chameaux, et les éclairs au chocolat ne descendirent dans mon œsophage à la vitesse d'un âne au galop que les jours impairs!

Comme on se connait peu, je passe sous silence la suppression des cigarillos de chez Ducros dans mes innombrables soirées festives et l’abus d’omelette aux champignons hallucinogènes aux déjeuners!

10 années ont passé et l'ambition qui m'anime aujourd'hui au moment de décarrer en haute voltige est tout autre. J’me verrais bien tenir salon avec des gus qui lorgnent des accessits dans les cyclos. On ne sait jamais sur un malentendu, 10 fringales, 15 crevaisons et autant d’erreurs de parcours…

Fréquenter assidument des lapins comme je le fais depuis 3 mois ça rend les dents Longues et tranchantes comme des lames de couteau! A ce propos je profite de l'occasion que je me donne pour vous remercier de votre chaleureux accueil le samedi matin (mention particulière à Gérald pour les « présentations »). J’ai trouvé davantage qu’un groupe "compact", bien plus qu’une machine infernale à broyer les mollets et arracher les palpitants dans les « spéciales ». J'ai rencontré des gens sympas et solidaires dans les "liaisons", des gonzes qui ne se prennent pas la chetron…

Comme quoi les préjugés et les qu'en dira ton tonton en plus d’être moche et tenace, c’est souvent que de la daube faisandée! A bon entendeur (de vélo) salut !

Mais revenons au consistant Brevet du jour. Autour de moi c'est l'effervescence, façon efferalgan dans un verre d'eau pétillante. Je suis aussi concentré qu'une tomate mure dans une course de tubes de ketchup. J'ai mis un cadenas sur mon appareil à débiter d'la connerie en rondelle et à me dilater la rate. Seule ma voix intérieure me jacte que le danger pour mézigue c'est de se laisser griser par ses socquettes légères du moment et de faire un peu trop son « prétentiard ».

En plus de vouloir bien faire, je tiens à retrouver ma baraka perdue au Brevet de Teyran. Ce jour là je roulais sur coussin d'air. Je me voyais déjà en haut de l’affiche des Lavagnes en train de savourer la pente à la petite cuillère à caviar, à planter des mines à dégommer tous les marchands de taille crayons de la terre, quand… Quand soudain, par pure « coquetterie », en voulant mettre le 25 dans le passage à 14%, j'ai arraché ma patte de dérailleur !

Tu parles d’une idée à la con ! Une de celle à faire empailler à côté de la tête de sa belledoche au dessus de la télé ! Comme quoi on peut avoir une dizaine de pattes de lapins autour de soi et courir à la catastrophe… La montagne raisonne encore de mon colossal lâcher de jurons. Un chapelet d’épithètes qu’un évêque même défroqué refuserait de bénir à Lourdes ! Bernique pour repartir! Si ce n'est comme co-pilote dans la chariote de la bonne fée Sylvie qui passait par là au même moment. Merci Sylviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeee pour ton aide et ton précieux réconfort.

Un cul bordé de nouilles pareil ça ne s’invente qu’au labo « recherche » de chez Panzani ! Si je n'avais pas croisé à 6 h du mat dans les Sources du Lez mon meilleur pote qui veille « bénévole amant » sur ma femme quand je pars faire du vélo, j'en déduirais qu'entre un majestueux cerf cévenol et moi…

A ce propos, vous connaissez la différence entre un mari et un amant? Non! Pas 30 cm! Remettez tous votre main droite sur le buzzer! 30 minutes… de plus!!!!!!!

Sur la ligne de départ, Gérald Grand Vizir nous met au parfum de bonne grâce.

Je dresse une oreille d'amante religieuse plus vaste que celle de Sœur Sourire à qui on lit au lit en lui chatouillant les… pieds, le Kâma-Sûtra. Le parcours qui ne fait pas dans la dentelle, il est aussi dentelé que le dentier de belle-maman qui n’utilise jamais d’appareil à broyer des noix, piler des amandes, concasser des noisettes... Ça risque d'être plus périlleux, débridé et acrobatique qu’un 5 à 7 avec Véronique, trapéziste au cirque de Pékin!

8h30 et une poignée de broquilles... Un frémissement court dans l'assistance comme un vigoureux souffle de vent printanier qui étreint langoureusement un champ de blé d’âge mûr. Et la météo crapo (c’est mon sobriquet) ?

Moi le passage à l’heure d’été ça me perturbe grave les premiers jours. Je reviendrai d’un voyage sur Vénus avec un décalage horaire de plusieurs années lumières à encaisser que j’en serais moins affecté !

On a la saveur du fiel, pardon… la faveur du ciel, surtout quand on songe qu’il y a peu... La température est aussi douce que la cuisse d’une danseuse du Crazy Horse. Pas de mystère, le vent est plein Ouest. En 5 ou 6 participations c’est la première fois que je ne me prendrai pas un gros marin grec dans le Q à l’aller, donc dans la gueule pour rentrer. Cette nouvelle me rend bien plus gai que gay !!!!

depart

L'imposant peloton bigarré et bariolé s'élance enfin. C'est un serpentin géant d’une centaine d’individu et long de 200 m qui s’étire sur le Boulevard Rocco Sifredi de Clapiers.

Je me reprends et me repends en vous dispensant pendant 10 lignes au max de mes métaphores licencieuses à 2 trous de balles. Même si je me reconnais davantage dans un bidet que dans un bénitier, je ne tiens pas à donner à cette lecture d’une haute tenue littéraire et morale un aspect équivoque ! Ha ha ha !

Les premiers kilomètres sont aussi plats que l'encéphalogramme de toutes les Miss France réunies. L'allure est tranquille, ça flâne à 35 km/h!!! Devant les cavaliers de l'AC Clapiers font la moto et ouvrent un bal sans brêle d’une valse à 120 temps pour les uns et 150 pour les autres. Quelle maestria! Quelle science du tempo! Ici pas besoin de muselières, ni de bramer à la garde ou de hurler dans les trompes d’Eustache de la troupe pour se faire respecter. Ici la bagnole ouvreuse ouvre et ne bouche pas!

Tout s’opère avec calme, rapidité et précision. J’arrête dans la flagornerie (page 432 de mon petit Larousse) et la tartine beurrée, sinon vous allez croire que je touche des royalties de votre Président! Beurre Président !!!!!!!! Surtout qu’au petit déj il ne prend que du miel de bruyère de ruches exposées versants sud-est et de la confiote de griottes dénoyautées à la main par des vierges de plus de 35 balais. Je déconne et à force je m’égare en prenant le risque d’être déjà un ex-futur Clapierois !!

Je filoche en navigant dans le ventre mou du peloton. J'ai le sourire blancheur colgate d’une pub TV pour dentifrice. ça roule en bémol (toujours mieux qu’en bêta), je me mets au diapason. J'attends avec confiance le concours de grimace du Col de Bane et le bourre-pif de Colognac où ça va devenir encore plus chaud que le dernier shooting du calendrier de Clara Morgane sous les tropiques.

S’agira pas d’avoir les burnes molles quand le coup fumeux partira. J’ai hâte, because au bout d'un moment l'inaction me pèse comme une crème Danette périmée sur le foie d'un hépatique.

Pour l’instant le road book m’indique que nous sommes au kilo 39. 3 minutes d’arrêt pour changer l’eau des olives des prostatiques et/ou des petites vessies (clin d’œil à Bribri). Putain ici on fait dans le neuf…

Fin de la neutralisation kilomètre 49, « ravitaille amant » au 69… A la sortie de Sauve qui Pneu, Gérald m’informe : « dans le prochain faux plat, fin de la neutralisation ». Y croit pas si bien dire ! Et qui met le feu au baril de poudre façon Johnny Halliday au Stade de France?

Je te le donne en cent, en mille, en Cécile B de Mille ? Thierry Gr le dynamiteur-farceur Clapierois et son Pinarello! C’est perle à rebours, une attaque surprise imparable! Pas besoin de vous organiser une séance explicative avec projections de diapos en couleurs et graphiques détaillés pour vous dire que les deux Bonnet lui emboitent la roue… Putain ces 2 là ! J’échangerai bien la moitié de votre fortune contre toutes mes dettes pour qu’ils bifurquent sur le 120… Sous ce terrible coup de butoir la moitié du peloton est passé par la fenêtre. Un peu en retrait, je reste en ligne de chaine et assure un honorable tempo.

A la bifurcation des 2 parcours, je bigle dans le rétro, y reste plus grand monde sur mon porte bagage pour affronter le Col de Bane. Certain diront qu’il n’est pas très pentu, que l’ascension est loin d’être aussi raide qu’une carotte plantée dans un champ de gingembre et qui prendrait du viagra comme fertilisant. Ouai, mais à 24 km/h t’as la tronche en coin de rue sinistrée et la bouche béante comme une gargouille de notre Dame ! Nous sommes encore une quinzaine. Le gratin du coin, la crème locale, le nectar du Pic. 4 gars de Clapiers, autant de St Drezery (meilleur club au ratio nombre de licenciés/performance), 2 gars de Sud Vélo bien connus, et 2 autres de la « déferlantes » de Frontignan…

L’allure est terrible, mais pas assez pour nos 2 oranges pressées qui décident d’en mettre un coup sur la meule. Camille F est au dessus du lot, il s’enflamme comme une allumette frottée par une suédoise contre ma jambe ! Y fait le ménage, la lessive… un sacré coup de balai ! Lui y monte les cols avec autant de plaisir et de facilité que Casanova ses conquêtes ! Pour rester dans la bonne (euh… la bonne échappée hein), je suis obligé de me mettre à la planche. Au sommet il pointe avec une vingtaine de secondes d’avance. Magnanime, il ralentit son effort pour permettre la jonction dans la descente.

Rien à signaler de particulier pendant plusieurs bornes. Jusqu’à Lasalle tout est propre et net. Toujours à donf mais groupir. Le panneau indique : « Colognac 6 km ». La route serpente comme un boa qui grimpe dans un bois, elle s’élève, s’élève… Toujours pas de temps mort. Au fil des kilomètres c’est la débandade comme disent les eunuques ! J’ai tendance à penser que c’est bibi qui souffre le plus, mais je ne panique pas. De plus, pas sot, je déteste faire l’élastique. Le roi du train trin pas quotidien c’est moi ! Au fil des bornes je retrouve du mordant pour parvenir au ravito de Colognac en position favorable.

colognacEn haut c’est bucolique et champêtre. Attroupement général dans un champ avec la réunification provisoire des 2 parcours. Putain y tombe à pic celui-là. Si je baffre pas un morcif de gras rapidos mon estomac va me présenter ses revendications syndicales ! Je mords à pleine dent dans un jambon-beurre épais comme un avant-bras de catcheur. Puis je me verse 2 glass de coca hautes calories, histoire de m’humecter les amygdales et de désinfecter mon méga tube digestif.

C’est ragaillardi et la brioche épanouie que je mets les adjas sur le Col de Bantarde. J’écrase les pédales et fais rougir et rugir mon 53 sur cette partie vallonnée qui précède la dangereuse descente. La route pleine de nids d’autruches est jonchée de branchages d’arbre arrachés par le vent fou de la veille. Les mecs descendent à fond les melons. N’étant pas de Cavaillon j’angoisse de me faire distancer. Depuis que j’ai des roues en carbone je descends comme une caisse à savon de Marseille sur une piste de bobsleigh. Question d’habitude sans doute…

Le freinage n’est pas le même que sur l’alu, faut être moins brutal et anticiper davantage. Comme si les patins spéciaux léchaient les jantes avec trop de vergogne et de retenu… Ce n’est pas le moment d’aller brouter un peu de luzerne. Je m’accroche comme du lierre rampant sur du fil de fer barbelé. Entre Sumène et St Bauzille de Putois la moyenne est vertigineuse, mais les relais passent bien et je ne consomme pas trop d’énergie…

D’ailleurs c’est le moment d’engloutir un énergix. Effet immédiat. Le glucose me monte au donjon terriblement vite, ma pédalée redevient farouche. Heureusement car la montée sur Ferrières les Verreries se pointe déjà. Celle-là, même avec la maladie d’Alzheimer je m’en souviendrai toute ma life! Entre 30 et 35 km/h jusqu’au bled ! Un salvateur fort vent pousse au derche. Mais ça ne doit pas aller assez vite car certains fument la pipe en ruminant des projets d’escapade. Je tiens jusqu’au dernier kilo, mais l’acide lactique commence à me ronger les jambons. A chaque tour de manivelle j’ai l’impression qu’on m’enfonce des poignards dans le bifteck. Je vire au rouge vif quand les Orange se déchaînent et posent une mine avec l’aide des 2 « déferlantes » de Frontignan ! Imparable !

Putain ! Je roule à 30 dans une bosse et je me fais largué comme un adolescent boutonneux! Le trou est fait. Je prends 10 m, puis 20 et le groupe se scinde en 2. Je laisse passer l’orage. Mais pas question de prendre un éclat quitte à pédaler avec les oreilles. Grâce à mon entrain communicatif, comme on dit dans les salons de coiffure qu’ont gros pignons sur rue, je trouve un précieux renfort. On stabilise l’écart à 200 m avec un joli point de mire pendant 5 bornes.

Ouf, second ravito. On retrouve les échappés et moi des couleurs et des sensations. Jusqu’à l’arrivée plus question de laisser partir personne. L’emballage final de 40 bornes et rapide mais sans histoire (à peine plus d’1 h). Je crois que tout le monde « en tient » et que personne n’a envie de rentrer solo.

Moyenne à l’arrivée 31.9 km/h ! Pas mal si on compte l’allure cool des 50 premières bornes…

Voilà, merci et encore bravo à l’AC Clapiers pour l’organisation de cette manifestation (accueil, ravito, motos…) top de chez zizi top. Une super préparation pour la Pingeon.

A l’année prochaine, avec peut-être le maillot jaune sur les épaules… Enfin, si après cette longue lecture vous voulez toujours que ma face de guignolo vous accompagne sur la route !!!


  2010 | Brevet | BRS150
 

Commentaires 

#6 Bruno ROCH 02-04-2010 20:04
20 pages?!?
Le grand challenge des Cinglés du Raid Litout!!!!!
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#5 Gérald RAZIER 02-04-2010 19:10
Bruno, je passe une deuxième commande : Pour le Samedi 8 Mai, un compte-rendu sur la journée Ventoux.

Mais si tu vient faire les B.R.M de 200 et 300Km, tu sera obligé de prendre le départ de Clapiers :
Pour le grand challenge des Cinglés du Raid Ventoux.
Un aller et retour de 360km avec 4000m de dénivellé.

Un truc pareil ça vaut 20 pages de lecture.
Pour les photos pas de souci, c'est Thierry qui ce charge de trouver un photographe.
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#4 Bruno ROCH 31-03-2010 14:04
Eric, ça dépend... C'est un 200 ou 300 métres? C'est départ lancé ou arrêté?
Ma "barre" mythique à moi c'est 240 bornes et un compte rendu de 15 pages à l'occasion de l'Ardéchoise.
Attention, pas de provocation! Ceux qui ne sont pas morts... d'ennui, n'ont pas encore terminé la lecture!!!!
Bon, ok, c'était sans les photos...
En tout cas, merci pour les tiennes. Pédaler, prendre des photos et écrire en même temps, avec un bon entrainement c'est jouable, enfin, jouable... A condition qu'on me tienne le guidon dans les épingles...
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#3 Eric LAPUYADE 31-03-2010 07:17
10 ans? Mais pourquoi attendre si longtemps? Ah, je comprends, tu n'as pas vu qu'on organise justement un 200 et un 300 dans quelques semaines... Mais rappelle toi toujours que plus c'est long, moins c'est dur (et je me garderai bien de tout jeu de mot sur ce coup là :-* ). Et puis l'avantage sur le 300, c'est que le compte rendu, tu as le temps de l'écrire sur le vélo, vu le temps qu'on y passe.
Ah, n'oublies pas un petit appareil photo pour agrémenter le texte: le tarif, c'est une image toutes les 30 lignes.
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#2 Bruno ROCH 30-03-2010 22:40
Le 300?
Bin rdv dans 10 ans pour être fin prêt,
ça c'est la bonne nouvelle...pour moi...
La mauvaise... pour vous?
6 pages de plus!
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#1 Eric LAPUYADE 30-03-2010 21:45
Tout arrive à celui qui sait attendre.
Je suis curieux de lire ton récit après le 200 et le 300 :-)
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