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19.05.2007 18:13:08
GeraldR

Tout sur mon BRM 400 ici:

  • Le matériel
  • Le barda
  • Le compte rendu

 


Après 3 jours de pluie sans discontinuer, pour ce samedi 5 Mai, les prévisions météo, étaient plutôt pessimistes.

Le vélo, et le matos.

Cadre sur mesure de chez Brochard, fabrication artisanale, tout alu, du Scandium de chez Amadeus, bon rendement, mais inconfortable aux longues distances.
Le matos : Campagnolo 10v, cassette 12X23, pédalier TA alizé 51X42, (Un bon compromis dans l’équilibre de la gestion de l’effort), selle Italia gel-flow, pédales Time, ensemble cintre potence Gass, garde-boue Zéfal AV et AR (démontage rapide), 2 portes-bidons, éclairage AV de chez B.B.B mod.BLS-22, avec 5 ampoules diodes blanches, éclairages AR de chez Sigma avec 4 Diodes.
Et pour finir, les roues à rayonnage traditionnel, 32 rayons en 2mm, croisés à trois.
Inconvénients : Plus lourdes, avec moins de rendement.
Avantages : Plus confortable, plus souple, plus solide (Voir les pros. sur les pavés du Paris-Roubaix).
Et surtout dans le cas, de casse d’un rayon, on peut continuer à rouler, ou réparer sur place, et si ça s’aggrave le petit vélociste du coin, aura un rayon de remplacement. (Souvenir personnel du 600 en 1999, du côté de Sisteron). Ainsi le brevet ne s’arrêtera pas là, en si bon chemin, il faut assurer.
Les roues Campagnolo Neutron, ça sera pour le 20 Août, quand la performance devra être au rendez-vous. .
Pour les pneus, des Michelin Pro-Race 23, avec des chambres Latex.

Le barda : Vêtements sur le bonhomme et dans le sac à dos.

Maillot d’été + manchettes, cuissard court + jambières, gants courts, sur chaussure lycra, gilet coupe-vent, bandana sous le casque, petit porte-monnaie, avec environ 40€ de monnaie, et une carte bancaire.
Dans le sac à dos : 2 chambres à air de rechange, 1 morceau de 5 cm de boyau finement découper pour le cas d’une déchirure d’un pneu, une mini-pompe, un multi-outil avec dérive chaîne, veste Goretex, sur chaussure de pluie, gant pluie néoprène, et une photocopie de carte avec le tracé de l’itinéraire.
L’alimentation : 1 Banane, 1 sachet de fruits sec composé d’abricot, figues, et pruneaux, 2 tranches de pain d’épice, 3 barres Power-Bar, 2 gâteaux sec de chez Céréal avec pâte de fruit, 1 sachet de 100g de gel glucosé, 1 sachet 25g de gel avec caféine, 5 ou 6 cachet de dextrose, des pastilles Rennie contre l’acidité dans l’estomac provoquer par une grande absorption de sucre associer à la chaleur, 1 tube de Sporténine pour les courbatures, 2 tubes de granules homéopathique, Arnica pour les douleurs musculaires, et Ruta pour les douleurs tendineuses, 2 bidons préparer au départ, + 4 recharge en sachets de 65g de maltodextrine goût neutre, plus chausson aux pommes, et pains aux raisins achetées à l’occasion des pointages dans les boulangeries, et enfin le sandwich jambon-fromage au km 200, à Sault. Les boissons en suppléments, thé, Perrier avec tranche de citron, Vichy fraise, et demi-panaché à l’arrivée.

La préparation de ce début de saison pour effectuer les B.R.M ;
He ben, pour faire ce brevet de 400 kms, il y à du retard sur le programme, tout juste 3800 kms au compteur, depuis le 1 Janvier. Si on ce fit au conseil de Bernard Piguet, il faut avoir 10 fois plus de kilomètres que la distance du brevet à effectuer, pour arriver le 15 Août avec 12000 kms au compteur. C’est ce que j’avais au départ du P.B.P, 95 et 99, et ça ma réussit pour passer en dessous de la barre mythique des moins de 50 heures.
Pour finaliser la préparation avant ce brevet de 400 kms, j’avais décidé d’augmenter mon kilométrage en roulant 5 jours consécutifs, pendant le week-end du 1 Mai. Mais voilà, une « gastro » pendant la nuit de Dimanche 29 au lundi 30 avril, à complètement anéantie mes projets, il me faudra 48 h pour me refaire une santé.

Le compte rendu:

Samedi 5 Mai, après avoir reconstitué mes réserves, me voilà à 3h du matin, au départ de ce brevet de 400kms.
A l’intérieur des Caves de Trinque Fougasse, pendant la distribution des cartes de route, Gaby nous annonce la présence de Laurent Boussette, le vainqueur du Bordeaux-Paris 2004.
3h 05 c’est le départ, 27 inscrits dont une féminine, et 3 non partants. Quelques impatients n’on pas attendu le départ du groupe de Clapiers et la voiture avec le gyrophare, tant pis pour eux ils vont rouler dans l’obscurité et en agglomération sans sécurité, sans guide.

Le groupe du club de Clapiers est composé de 14 cyclistes: Jean-Pierre Ferraton, Dominique Boudet, Eric Lapuyade, Georges Farjou, Jean-Louis Rouquette, Patrick Bassot, Gérald Razier, Alain Bronnec, Roger Durand, Gilles Lallemand, Gabriel Bondoux, Robert Cohen du club de Gignac, Cédric Lejeune (21ans) d’un club de Normandie, Gérard Volf d’un club Nîmois (Un copain à Patrick),
Sur ce type d’épreuve, la priorité du club de Clapiers est la solidarité. Les « grosses cylindrées » se mettent au service des plus faibles, et ainsi tous les participants présents dans le groupe, peuvent accomplir le brevet en toute sérénité. L’objectif est d’effectuer le brevet en 16h. Ce qui nous donne arrêt compris, une moyenne horaire de 25 km/h, ça reste honorable, et à la porté de tous cyclos-randonneurs-sportifs, bien entrainés à ce rythme de vitesse de croisière. La devise du club de Clapiers est : « Il est plus facile de rouler en groupe, avec une moyenne de 30 km/h, que de rouler à 25 tout seul ». L’allure du groupe est raisonnable, jusqu’à la sortie de Teyran.

A cause de la couverture nuageuse, la nuit est bien sombre, avec une vitesse modérée mon éclairage AV est satisfaisant, mais à l’occasion du départ de 20h sur le P.B.P, quand la vitesse deviendra vertigineuse, une deuxième torche sera indispensable.

Entre Saussines et Sommières, à l’occasion d’un petit arrêt, Boussette et Ginestet nous rejoignent en nous annonçant, que dés le départ au carrefour de Jacou, le groupe des impatients s’est trompé, pour ce retrouver derrière le club de Clapiers. Par la suite, avec l’arrivée de c’est deux phénomènes, l’allure du train va progresser. Elle va même devenir un peu crispante pour les maillons faibles du groupe, mais à la faveur de la traversée du village de la Calmette, je prends la tête du groupe, et en compagnie des membres du club de Clapiers on réussit à stabilisé la vitesse.

Le premier incident mécanique sera pour moi, sans conséquence pour la progression du groupe, en fait à 1 km d’Uzes, la manette de mon dérailleur AV se casse. La fonction du changement de plateaux devient très délicate, il me reste qu’un seul petit bout de plastique, ou j’ai grand mal pour faire basculer le levier avec le bout de mon index.

Le premier contrôle à Uzes 70 kms, il se passe dans un bistrot, il est 5h20. Au pointage pointage, on se boit un café, Gaby nous montre des signes d’impatiences.

Le jour ne se lèvera aux approches de St Victor la Coste, c’est sur la place du village, que Michel et Joffrey nous abandonnerons pour retourner à Montpellier. L’itinéraire de Montpellier à Orange, je le connais par cœur, pour l’avoir mainte fois reconnu, afin d’adapter un parcours au raid de Clapiers Mt Ventoux. Je crois que je pourrais le faire les yeux fermés, le petit raccourcie sympathique par le village Montfaucon, avec une arrivée juste à l’entrée du pont sur le Rhône, est très apprécié.

Orange, 113 kms il est 7h, deuxième contrôle, le ciel est très menaçant et ça excite encore plus, les nerveux. Avec 30,1 km/h au compteur, les vieux routards restent placides, s’installent en terrasse et commande café et croissants. Boussette, Ginestet, Lejeune et Gaby décident de repartir sans attendre. Par la suite, avec le relief qui s’accentue, cette décision s’avérera très bien pour tout le monde, ainsi chaque groupe pourra rouler à son rythme.

Notre route passe par Rasteau, en arrivant sur Vaison la Romaine, on emprunte la déviation, ce qui rallonge l’itinéraire. Le paysage commence à changer, et la route s’élève au détriment des non grimpeur. Entrechaux, Molans/Ouvèze, Gilles me montre un gîte qu’il connait pour y avoir séjourné, ça sera très bien pour le prochain raid Clapiers Mt Ventoux.
A l’approche du village de Buis-les-Baronnies les ascensions de côtes et de cols se succèdent, chacun roule à sa main, certain se brûle les cuisses, d’autres grimpe au tempo, et à l’arrière Jean-Louis roule au côté de Dominique pour le motivé, et surtout quand la pente redevient plus facile, il le ramène vers le groupe.
St Auban/Ouvèze, troisième contrôle il est 10h, cette fois ce sera la poste qui apposera son tampon pour justifier notre passage. Je n’ai plus une gouttes d’eau dans mes bidons, la fontaine est à sec pour cause de travaux, Gilles frappe à la porte du restaurant qui ce trouve à côté, personne répond, le robinet d’eau des propriétaires se trouve à porté de main, Gilles fait le plein de son bidon et tombe une casserole dans l’évier, alerté par le bruit une personne vient voir se qui ce passe, Eric émîtes le miaulement du chat. Sympathiquement la patronne du restaurant nous offre de son eau.
Jusqu’à présent, les mauvaises conditions météo nous ont épargné, quelques gouttes de pluie, quelques rayon de soleil, la route bien mouillée par endroit, des méchants nuages noir derrière, ou devant, mais jamais sur nous, en somme la baraqua.
Les paysages sont magnifiques, le passage du col d’Aulan (845m) point culminant du brevet, la descente vers le château d’Aulan, le défilé dans les gorges du Toulourenc, et ensuite la route en direction de Montbrun les Bains.

C’est dans cette monté de Montbrun les Bains, jusqu’à Aurel et pour enfin arrivée au contrôle de Sault, que Jean-Pierre va nous faire un récital.
A Montbrun, dés la sortie du village, Patrick, Roger, Jean-Louis roule bon train et ils nous distance facilement, entre les 2 petits groupes ce trouve Eric, il avale avec facilité les bosses, il passe tout sur la plaque, pendant ce temps je donne le tempo, dans ma roue, Georges, Alain, Gilles, Gérard, et Jean-Pierre, dont je sens le coup de pédale facile, il est bien à l’abri au début de la bosse pour finir devant à imposé son rythme. La réflexion du jour, que je lui expose de vive voix : « Dit moi Jean-Pierre, est ce que c’est l’odeur du nougat de chez Boyer qui te donne des ailes, pour aller aussi vite vers Sault ». (Le nougat de chez Boyer à une réputation internationale, Jean-Pierre en est friand).

Sault 11h 30, le contrôle s’effectue dans le bistrot qui ce trouve sur la place du village. Après plus de demi-heure d’arrêts, et une bonne collation, nous décidons de repartir. Dés notre sortie, la température extérieure nous surprend, je regarde le thermomètre de mon compteur, il fait 14°, en fait c’est l’humidité de nos vêtements mouillés par la transpiration, qui nous donne cette sensation de froid. Tout le monde s’habille pour la descente des Gorges de la Nesque. Du plateau de Sault, en plongeant dans les gorges de la Nesque, c’est grandiose. Ville sur Auzon, un arrêt pour se dévêtir, je profite pour faire le plein d’un bidon.

Direction Mazan, la route est belle, le vent est 3 quart dos, je roule devant bon train, un carrefour avec l’indication Pernes-les-Fontaines, on tourne à gauche, un deuxième carrefour, puis un troisième, et plus rien de la bonne direction. On c’est trompé, de carrefour, il fallait aller jusqu’à Mazan, mais bon un petit détour et nous revoilà sur notre route.
Pointage au bistrot de la « Paroisse » de Pernes-les-Fontaines, cette fois l’arrêt serra de courte durée.
Jean-Louis prend l’initiative de nous faire traversée la vieille ville, et c’est une bonne idée, on gagne du temps, et on profite du charme de cette belle cité, chaque rue est décoré d’une fontaine.

Le carrefour de Noves, un enfer pour les vélos. Des 4 voies, des voitures des camions partout, des ronds point énormes à me faire tourner la tête, apparemment Georges connait, il nous indique une direction, Eric sort un plan du carrefour, il n’est pas d’accord, avec la fatigue je me déconnecte, le groupe se sépare, on se retrouvera à Maussanes les Alpilles au contrôle.
En traversant Noves on retrouve des participants du brevet, Franck Weiss et Bernard Le Chenadec ils faisaient partie du groupe qui c’est perdu à Jacou.
St Rémy de Provence, la route est superbe, mais ça grimpe, et le calvaire commence pour Dominique. Je l’attends, je roule à son côté pour le motivé, plus rien ne va, à mis col je regarde mon compteur, on roule à 10 km/h, pour ne pas trop perdre trop de temps, je décide de le poussé sur le dernier km, avant de basculer sur Maussanes. Dans la descente je sens un début de fringale, tout en roulant je sors de mon sac à dos, un reste du sandwich de Sault.

Maussanes les Alpilles, je suis Eric, je sais qu’il va tout droit chercher son chausson aux pommes, et je pointe dans la boulangerie.
J’ai de plus en plus du mal à faire fonctionner mon dérailleur AV. Pour changer de plateau, quand je pousse sur le petit bout qui reste de la manette, ça me fait très mal à mon index, j’hésite à m’en servir, ce n’est pas très bon pour la gestion de l’effort.

Fontvieille, Abbaye de Montmajour, Arles, on commence à voir ceux qui on encore des réserves et c’est sur cette route que va se produire la seule crevaison du groupe.
Traversé d’Arles, on se consulte avec Jean-Pierre, pour passer le Rhône il faudra prendre le pont de Trinquetaille, et rejoindre la D570, route des St Marie de la Mer.
Bernard Le Chenadec qui nous a rejoint, habite Vallabrègues à 20 kms de Arles, et il semble bien connaitre Arles, je dirais même qu’il connait très bien. Est-ce que vous saviez ? Qu’il y a un passage pour piétons et vélos, à l’intérieur du pont de l’autoroute, qui va de Nîmes à Salon de Provence, et qui franchi le Rhône.
La plaine de la Camargue, Roger, Jean-Louis, et surtout Eric et Patrick, voilà les locomotives qui amènent le groupe au bon tempo. Le vent est de 3 quarts dos, malgré la piste cyclables, on à tendance à emprunter la chaussée réservé aux voitures.

Que c’est long, tous c’est bout droit ! Je languis de voir arrivé le pont de Syvéréal, et passer le petit Rhône, pour enfin me retrouvé dans mon jardin. Mais voilà, le plaisir ne sera que de courte durée, car dés le pont passé, on se retrouvera face au vent, je prends un relais sur un bout droit de 800m, ce serra le seul relais que je prendrais sur les 23 kms avant d’arrivée au prochain contrôle de St Laurent d’Aïgouze. La fatigue ce fait sentir, j’ai mal partout, je me place derrière le groupe et je fais le serre file, Dominique souffre, il flotte comme un drapeau dans le vent, il lâche prise de temps en temps, mais revient quand la vitesse se réduit. La Tour Carbonnière, alors là, le vent est plein nez, dans la dernière ligne droite avant d’arriver à St Laurent d’Aïgouze, le groupe ce disloque, c’est normal quand les conditions sont pénibles, et que l’arrêt est proche, tout le monde à envi d’en finir.
On fait tamponné nos cartes de route, dans l’un des bistrots du village, on est bien accueillie, le patron connait un peu le monde du vélo pour recevoir le club de Carnon.

Direction Marsillargues, puis Lunel, je fais le guide pour éviter le centre ville et la N113. On traverse Lunel-Viel et nous voilà en direction de St Genies des Mourgues. C’est un coin qu’on n’affectionne pas, pour y avoir galéré quelques fois avec le club, lors des retours de virées Camargue. Ici c’est un faux plat de 6 kms avec toujours un vent contraire, ensuite il faut passer le village, pour arrivée au col « Las Mourguétas ». La D110, Castries, Vendargues, Jacou, Clapiers, et enfin le col de Trinque-Fougasse, où malgré la fatigue, c’est Dominique qui remporte le sprint final. A l’arrivée au bar de Trinque Fougasse, il est 19 h 30.

Les indications du compteur : 422 kms, 29 km/h de moyenne, 14 h 24 de selle, 3191 mètre de dénivelle.
On est tous heureux d’en avoir terminé, on fête notre succès, le demi et la demi-panaché coulent à flot, le tout accompagné de petites collations. Dominique, merci, et à propos est ce que vous seriez capable de prendre le départ d’un brevet de 400 kms avec à peine une heure de sommeil, et à votre arrivée vous remettre au boulot pour enfin prendre un peu de repos, vers 1h du matin.
Je pars vers ma voiture pour ranger mon vélo, Genestet et Boussette reviennent de leurs hôtel, ils me donnent leurs cartes de route et me raconte qu’ils sont arrivées à 17h 55, mais sans Gaby. Il l’on perdu du coté de Sault, pour s’être avancer à cause d’un arrêt « buisson ». (Alors que dans le bistrot il y avait tout ce qu’il fallait). Gaby arrivera seul à 18h 45. Ensuite, je leurs parle du club de Clapiers, des performances sur Bordeaux-Paris 2004, avec Yannick et José, et la même année, la présence de 12 participants de l’AC Clapiers, je présente aussi Jean-Pierre avec ces 7 participations au P.B.P. Je retourne au bar pour comptabiliser les participants qui ne sont pas encore rentrés, j’installe la boite à lettre à l’extérieur, au cas où il y est des participants qui arrivent tard dans la nuit (Le derniers délais est 6h du matin).

Je pars du restaurant il est 21h, j’emprunte la route du retour du brevet et j’aperçois juste après le rond point de Jacou des vélos avec des torches, je m’arrête sur le bas côté, je sors de la voiture et je crie pour les encourager : « c’est bientôt fini ». Ils sont 4 cyclistes, Isabelle Esclangon, Frédéric Esclangon, Jean Richarte, et Jean-Mary Nicolle, ils pointeront à 21h 30. C’est vraiment dommage pour eux, sans cette erreur du début de parcours, ils auraient peu roulé et terminé dans l’aspiration du groupe de Clapiers. Les deux derniers participants Alain Girard et Christian Repkat arriverons à 0h 40.
Dimanche 6 Mai : Récupération, le matin automassage, avec une longue séance d’étirements. Après-midi, mini sieste, et ensuite 3 h de tondeuse. Le lendemain au boulot avec un trajet en VTT de 14 kms.


  BRM400 | BRM | 2007
 

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